?Il y a des lignes à ne pas franchir?, s’étrangle Nicolas Barré dans les Echos. ?Faute de parole élyséenne, il a fallu que ce soit Jean-Marc Ayrault qui… calme la logorrhée anti-Merkel, voire anti-allemande qui commen?ait à prospérer au sein d’un Parti socialiste livré à lui-même.? Le Figaro ne se prive doudoune moncler pas cher pas christian louboutin non plus de tirer à boulets rouges sur les socialistes, traités ?d’apprentis sorciers?. ?Rien n’est plus irresponsable que de faire d’Angela Merkel et de la politique européenne de l’Allemagne le bouc émissaire des difficultés qui s’accumulent sur notre pays?, assène Pierre Rousselin.
Alors que l’ampleur de la crise appelle des mesures urgentes, ?le problème est qu’il faudra attendre les élections allemandes doudoune pas cher pour trancher?, relève Christophe Lucet (Sud-Ouest). ?C’est-à-dire six mois?, au moins.
Les relations franco-allemandes sont au coeur des éditoriaux lundi. Les déclarations socialistes sont jugées ?irresponsables? par certains tandis que d’autres estiment que le veste moncler débat sur l’austérité chaussures louboutin pas cher est légitime alors que crise et ch?mage ne cessent de s’amplifier.
Jean-Emmanuel Ducoin enfonce le clou dans l’Humanité: ?Nous sommes invités à ménager notre langage ??autrement dit à fermer nos gueules?, s’indigne-t-il, assurant que ?l’hypocrisie a assez duré?. ?La question ne concerne évidemment pas l’amitié avec nos voisins?, écrit-t-il, ?mais sac à main longchamp pas cher du rapport de forces, donc du devenir des citoyens de tout un continent enr?lés de force dans des politiques d’austérité qui conduisent à la catastrophe et pour lesquelles l’Allemagne a joué un r?le primordial.? ?La violente charge du PS contre l’austérité européenne et surtout contre son symbole Angela Merkel louboutin homme résonne également comme une critique à peine voilée de la politique du gouvernement fran?ais?, souligne Jean-Claude chaussure louboutin Souléry (La Dépêche du Midi). ?Cette impertinence du PS avait de quoi provoquer la “gross” colère du Premier ministre, qui, durant tout ce week-end, et fort du soutien de l’?lysée, s’est efforcé d’éteindre la polémique?, s’amuse l’éditorialiste.
Dans La Croix, Guillaume Goubert prend le contrepied en insistant sur le fait que la ?relation pacifique patiemment construite? entre la France et l’Allemagne est à ?préserver? mais ?ne signifie pas s’interdire tout débat?. ?Une bonne relation, entre deux personnes comme entre deux pays, appelle la franchise lorsqu’il existe des malentendus ou des désaccords?, plaide l’éditorialiste du quotidien catholique.
dans Libération. ?A quel jeu dangereux jouent les socialistes fran?ais, prêts à transformer Angela Merkel en bouc émissaire plut?t que de débattre de la politique de leur gouvernement??, s’interroge Fran?ois Sergent. ?On peut ? on doit ? pouvoir discuter des politiques de rigueur, mais il est démagogique moncler pas cher d’en faire porter le chapeau à Berlin ou à Bruxelles?, martèle-t-il.
No Comments Found